Quand je serai grand...

... je serai chirurgien esthétique!

dans le magazine Capital n°206 du mois de novembre dans le dossier spécial Santé:

"Merci et ciao!" a dit Alain Prime quand un chirurgien a osé lui demander un dessous-de-table et son sang n'a fait qu'un tour. Au printemps dernier, cet homme de 56 ans s'est rendu dans une clinique privée du Puy-de-Dôme avec sa femme qui avait besoin d'une chirurgie réparatrice du ventre.

"En fin de rendez-vous, le docteur nous a annoncé 3000 € de dépassement pour l'opération, plus 3000 € au noir!" s'étouffe t'il. Comme Alain tiquait, le chirurgien lui a demandé sa profession. "Œnologue?Payez-moi en grands crus!" Dépité, le couple s'est tourné vers une clinique de Saint-Etienne, où madame a été opérée au tarif Sécu.


sympa non?

Ou est donc le sermon d'hypocrite euhhh.... d'Hippocrate

Que veux tu, il faut bien qu'ils vivent ces gens!

Et oui va bien falloir qu'ils puissent payer la taxe éco pour leurs gros 4x4 qui polluent ! . . . Les pauvres . . .

Et même dans une clinique publique il y a des dépassements d'honoraires qui doivent être prises en charge par les mutuelles? Comment on fait quand celle-ci ne les prend pas en charge

C'est dégeulasse et en plus comme c'est des dessous de tables; pas déclaré aux impots(j'en suis sur).
L'Etat est complice de cette assassinat social; c'est lui (sous Raffarin) qui a libéralisé cette pratique.
Sinon l'expression quand je serai grand me fait penser aux simpsons:
"Quand j'étai petit je n'étai pas grand;
je montrai mes fesses à tous les passants,
ma mère me disait veux-tu les cacher?
Je lui répondai veux-tu les lécher?"